Voici quelques petits échos de ce qui s’est dit en réunion ce jeudi 15 avril au matin, en présence du directeur régional, de la drh, de la cheffe de centre et de Rozenn Ménard, de la direction de l’immobilier, en charge du dossier déménagement au siège de France télévisions.
Rassurez-vous, vos RP Côte d’Azur vous adresserons prochainement un compte rendu complet, écrit à huit mains, comme d’habitude.
Donc on a appris aujourd’hui que la mairie de Nice vient de publier l’appel d’offre concernant le site de la Victorine (23 mars). Et que France télévisions va y répondre (deadline pour les réponses, 23 juillet). Evidemment, la CFDT, comme les autres RP, conteste ce déménagement et demande que les salariés soient informés et surtout consultés.
Ils seront consultés plus tard, nous répond-on… Mais ce sera trop tard pour donner notre avis.
Nous avons la confirmation, par exemple, qu’il n’y aura pas de cantine dans le projet qui sera présenté par France télévisions, en réponse à l’appel d’offre. La CFDT a opposé à la direction régionale et à la direction de l’immobilier, entre autres, les arguments suivants :
· La cantine permet aux salariés de déjeuner au bureau entre deux séquences/tournages en 10 minutes ce qui rend le travail plus efficace (un restaurant de quartier ne le permet pas)
· La cantine évite les repas en extérieurs et les frais inhérents à rembourser par l’entreprise
· La cantine est un lieu de convivialité et d’échanges professionnels pour les salariés
· La cantine est un avantage social que les salariés ne souhaitent pas perdre
· La cantine permet de manger équilibré
· La cantine offre des prestations 50% moins chères que les traiteurs, et ce plus de 10 fois par an, lors d’événements au bureau (vœux de la directions, soirées électorales, émissions spéciales).
Nous avons eu des infos plus sympa aussi, tel que ce projet d’émission 100% musicale, qui sera réalisée en studio à Antibes et Marseille et mettra en valeur des groupes de la région. Pas de quoi cependant faire passer le goût amer de ce projet déménagement, qui selon la direction de l’immobilier, verra le jour mi-2024, si tout va « bien » (mal, devrait-on dire, pour beaucoup de salariés) .